L’interview de :

Valerie Granger

VIOLON

Haute comme 3 pommes , claves, chant … Je Découvre la musique avec Gérard COGNE et Annie DESROCHES à l’école Jeanne d’Arc Mâcon ! Je commence le violon à l’âge de 9 ans avec Patrice PetitJEAN à l’école de musique de Charnay- les- Macon puis avec Christine KRIPIEC au Conservatoire de Mâcon. Pendant mes études en secondaire à Lyon, j’intègre l’Orchestre des Hospices Civils de Lyon pour 2 ans. Puis Résonances.

VALERIE GRANGER

LA QUALITÉ INDISPENSABLE POUR DEVENIR MUSICIEN D’ORCHESTRE SELON VOUS ?

L’écoute des autres

VOTRE RAPPORT AUX INSTRUMENTS ?

J’ai un rapport sensible et sensitif avec les « cordes »: le toucher doux et chaud du bois et son parfum, les vibrations et sons des cordes. Le son du cor et le hautbois m’évadent

UN RÉPERTOIRE DE PRÉDILECTION ?

Pas vraiment classique mais rock ?! Sinon en classique des musiques teintées de sonorités « de l’Est. »

VOTRE DERNIER FRISSON MUSICAL ?

Concert De l’orchestre universitaire de Besancon avec Julie et Camille BERTHOLLET : Ed.Grieg danses norvegiennes, concerto pour violon en Ré maj. de tchaikowski et concerto cappriccioso op.62 pour violoncelle et orchestre de Tchaikowski, double concertos en La min. op 102 Final de Brahms.

UNE ŒUVRE FÉTICHE ?

La symphonie du Nouveau monde de DVORAK

LE PLAISIR DE LA SCÈNE ?

Euphorisant , so exciting !

UN RITUEL AVANT D’ENTRER SUR SCÈNE ?

Un regard complice échangé avec chaque musicien de mon pupitre